Batterie Fujitsu LifeBook A530
- fasophiafrance
- 2017年3月20日
- 讀畢需時 9 分鐘
Apple a naturellement fait appel de cette décision, qualifiée par son CEO, Tim Cook, de « connerie politique absolue ». Mais l'Irlande conteste également la décision, bien que ce pays soit contraint de récupérer cette somme auprès de la société. « Le calendrier est entièrement entre les mains de la cour, alors je ne sais pas quand le moment sera choisi d'aller plus loin », a indiqué Margrethe Vestager. Lors de ses investigations, la commission a trouvé qu'Apple, au travers de ses deux filiales irlandaises, avait un taux de taxation sur les bénéfices de 0,05%, tombé en 2014 à 0,005%.Les CEO de Microsoft, Facebook et Twitter, ainsi que plusieurs autres représentants de l'industrie IT ont rapidement réagi après l'annonce du décret anti-immigration de Donald Trump portant sur 7 pays à majorité musulmane (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen). Si ce texte ne mentionne pas spécifiquement le visa de travail H-1B, il affecte potentiellement toute personne originaire de ces pays qui en détient un ou qui cherche à l'obtenir pour travailler aux Etats-Unis.L'industrie technologique américaine s'inquiète de l'interdiction d'entrée temporaire - 90 jours - de ressortissants étrangers de sept pays décidée vendredi par l'administration Trump. Elle prévient que cette restriction aura des répercussions sur son activité.
L’Internet Association, qui compte parmi ses membres plusieurs entreprises technologiques dont Google, Amazon, Facebook et Microsoft, a déclaré que le décret signé vendredi par Donald Trump limitant l'immigration et le déplacement des personnes aux États-Unis avait des conséquences inquiétantes. En effet, ses membres et les entreprises de nombreuses autres industries font travailler des personnes immigrées concernées par le décret, et celles-ci ne seront pas en mesure de reprendre leur poste et de rejoindre leurs familles aux États-Unis. « Leur travail profite à notre économie et crée des emplois ici aux États-Unis », a déclaré pendant le week-end Michael Beckerman, président et CEO de l'Internet Association.Les dirigeants de plusieurs entreprises technologiques comme Twitter, Microsoft et Netflix ont fait part de leur inquiétude au sujet du décret signé par Donald Trump, lequel interdit pendant 90 jours l'entrée aux États-Unis de personnes originaires de sept pays musulmans - l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie, Soudan, Syrie et Yémen – aussi bien les immigrants que les non-immigrants. Selon l'administration Trump, ce décret doit empêcher l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis.
D’après certaines informations, des entreprises comme Uber, Apple, Microsoft et Google sont en contact avec les employés concernés par le décret. « Uber essaye de compenser l’absence de conducteurs originaires de ces pays. Plusieurs d’entre eux sont partis rendre visite à leurs familles et se trouvent désormais dans l’incapacité de revenir aux États-Unis », a écrit le CEO d’Uber, Travis Kalanick, par ailleurs membre du Groupe consultatif sur les entreprises mis en place par Donald Trump. « En tant qu'immigrant et en tant que CEO, j'ai vécu et vu l'impact positif de l'immigration sur notre entreprise, pour le pays et pour le monde », a déclaré le CEO de Microsoft, Satya Nadella, dans un message posté ce week-end sur Linkedin. « Nous continuerons à défendre ce sujet important ». Quant au CEO de Netflix, Reed Hastings, il a écrit dans un article mis en ligne sur Facebook que « les décisions de Donald Trump blessent les employés de Netflix partout dans le monde ». Ajoutant : « Elles ressemblent tellement peu à l’Amérique que nous en sommes tous affectés ».
Le secteur technologique est également préoccupé par les mesures prises par le l’administration Trump en matière de politique d'immigration. Celle-ci pourrait imposer des restrictions sur les visas d'entrée de personnes impliquées dans la direction des opérations et le développement de produits et services des entreprises. Le programme d’octroi de visa H-1B, un visa non-immigrant, qui permet à des entreprises américaines d’employer pendant 3 ans des étrangers qualifiés pour occuper des emplois spécialisés, est mal vu par l’administration Trump parce qu’il ne favorise pas le recrutement de citoyens américains. Samedi, le chef des services juridiques de Microsoft, Brad Smith, a déclaré dans une note qu’il a adressée aux employés que l’entreprise était attachée à « un système fort et équilibré d'immigration hautement qualifiée ».La Commission européenne affirme que les accords transatlantiques sur la protection des données ne seront pas affectés pas le décret limitant la protection de la vie privée des étrangers signé par Donald Trump.
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Vendredi, la Commission européenne a déclaré que « les craintes que l'un des nombreux décrets signés la semaine passée par le président américain Donald Trump ne remette en question le Privacy Shield, l'accord transatlantique encadrant le transfert de données, sont sans fondement ». Mercredi, parmi les nombreux documents signés depuis le 20 janvier, jour de l’entrée en fonction de son administration, Donald Trump a signé un décret intitulé « Améliorer la sécurité publique à l'intérieur des États-Unis ». Tous les présidents américains avant lui ont utilisé des « executive orders » pour gérer les activités du gouvernement fédéral. À l'instar du décret concernant les « améliorations de la sécurité aux frontières et de la politique d’immigration » signé le même jour, le décret relatif à la sécurité publique permet d’expulser des étrangers entrés illégalement aux États-Unis ou ceux entrés légalement, mais dont le visa est arrivé à expiration ou ceux n’ayant pas respecté les conditions liées à leur visa.Cependant, pour appliquer ce décret, les autorités judiciaires doivent être en mesure de suivre les étrangers concernés. Or, les lois sur la protection de la vie privée peuvent constituer un obstacle à l'obtention des informations permettant de les identifier. C'est la raison pour laquelle Donald Trump a ordonné aux agences gouvernementales américaines « de veiller à ce que leurs politiques de protection de la vie privée excluent du Privacy Act, l’accord sur la protection des données personnelles, les personnes n’ayant pas la nationalité américaine ou n’étant pas résidents permanents légaux ».
Certains se sont demandés si la décision du président élu avait un impact sur le Privacy Shield. Lors de la négociation du Privacy Shield, qui permet aux entreprises de transférer les informations personnelles de citoyens européens aux États-Unis, l'Union européenne avait exigé des États-Unis qu’ils garantissent un droit à la vie privée pour les données des étrangers traitées sur le sol américain. Ces transferts sont interdits par la législation européenne sur la protection de la vie privée, sauf si le pays de destination des données respecte un niveau de protection de la vie privée au moins égal à celui exigé par la législation de l'UE. Un législateur de l'UE qui avait défendu les mesures de protection inscrites dans le Privacy Shield a immédiatement critiqué le décret de sécurité publique signé par le nouveau président.Le député européen Jan Philipp Albrecht craint que ce décret ne porte atteinte à l’accord garantissant la protection des données et à un autre accord-cadre sur la confidentialité des données conclu entre l'UE et les États-Unis et devant entrer en vigueur ce mercredi. « Si cela se confirme, @EU_Commission doit immédiatement suspendre #PrivacyShield et sanctionner les États-Unis pour avoir rompu l'accord-cadre entre l’UE et les États-Unis », a tweeté le député.
Mais, selon une porte-parole de la Commission, « les craintes de Jan Philipp Albrecht et d'autres ne sont pas fondées ». Le Privacy Shield protège les données des citoyens de l'UE transférées aux États-Unis. Par contre il ne couvre pas la confidentialité des données collectées aux États-Unis. « La loi américaine sur la protection des renseignements personnels, le Privacy Act, n'a jamais couvert la protection des données des citoyens européens. Le Privacy Shield n’est pas lié au Privacy Act, qui concerne les données détenues par les agences américaines, et non par des sociétés privées. Par ailleurs, l'accord-cadre auquel fait référence l'eurodéputé Jan Philipp Albrecht couvre l'échange d'informations personnelles entre les autorités américaines et les autorités européennes pour leurs besoins d’enquêtes. Cependant, il dépend d'une loi qui semble exclure les Européens du décret signé par Donald Trump.Selon la porte-parole de la Commission, « l’an dernier, pour finaliser cet accord, le Congrès des États-Unis avait adopté une nouvelle loi dite U.S. Judicial Redress Act sur le recours juridictionnel, qui permet aux Européens de bénéficier de la loi sur la protection des renseignements personnels, le Privacy Act, et leur donne accès aux tribunaux américains ». Étant donné que Donal Trump a uniquement demandé aux agences d'exclure les Européens de la loi sur la protection des renseignements personnels « dans la limite du droit applicable », il semble que la loi sur le recours juridictionnel s'applique toujours. Mais, la Commission reste vigilante. « Nous continuerons à surveiller la mise en œuvre de ces deux instruments juridiques et nous suivons de près aux États-Unis tout changement qui pourrait avoir un impact sur les lois européennes relatives à la protection des données », a encore déclaré la porte-parole.
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L'élection de Donald Trump pourrait porter un sacré coup à la neutralité du Net aux Etats-Unis. Le président américain vient de nommer Ajit Pai, l'un des fervents opposants à ce principe, à la tête de la FCC, principale autorité régulatrice des télécoms aux Etats-Unis. Parallèlement, Mike Pompeo a prêté serment en tant que directeur de la CIA. Lui aussi inquiète par ses positions sur la surveillance de masse et l'accès au chiffrement. Donald Trump continue son grand ménage à la tête des institutions américaines. Le président nouvellement élu, qui a pris l'habitude de placer ses proches à la tête des différents organes du pouvoir, vient de nommer Ajit Pai à la présidence de la Federal Communications Commission (FCC). Celui-ci siégeait déjà à la commission depuis 2012, sa nomination n'a pas à être validée par le Sénat. Opposé au principe de la Neutralité du Net, il s'était publiquement opposé à la classification du haut débit comme un service public, en février 2015. Pour Ajit Pai, les règles qui en découlent peuvent potentiellement amener de nouvelles taxes que les fournisseurs d’accès vont répercuter sur leurs clients ou déduire de leurs investissements consacrés aux déploiements.
« Nous allons faire en sorte, avec l'Administration, mes collègues de la commission et les membres du congrès, de trouver la meilleure façon d'apporter à tous les Américains les bénéfices de l'ère numérique », a déclaré Ajit Pai lors de son investiture. Il avait vertement critiqué les plans pour la neutralité du Net mis en place par son prédécesseur Tom Wheeler, soutenu par Barack Obama. Il y a fort à parier qu'il s'emploie rapidement à les détricoter une fois que la FCC sera au complet. Donald Trump doit, en effet, nommer encore deux membres, un Républicain et un Démocrate (pour un total de trois Républicains et deux Démocrates).Une autre nomination était très attendue, celle du nouveau patron de la CIA. Et comme pressenti, c'est Mike Pompeo qui a été présenté lundi par le vice-président Mike Pence. Il a prêté serment hier soir, 23 janvier. Les détracteurs du nouveau patron de l'agence américaine de renseignement craignent un rétropédalage sur plusieurs réformes liées à la protection de la vie privée, notamment sur la question de la collecte en vrac des métadonnées issues des téléphones portables. Mike Pompeo s'est déjà clairement affiché en faveur d'une telle mesure. Certains estiment que le nouveau patron de la CIA serait en faveur d'une restriction du chiffrement pour le grand public et aussi d'un encadrement des réseaux sociaux.Les pratiques commerciales de Qualcomm commencent à faire des vagues. Alors que les autorités chinoises et sud-coréennes l'ont déjà condamné à de lourdes amendes pour des abus de position dominante, le fondeur se voit maintenant réclamer 1 Md$ par Apple au titre d'une remise non appliquée.
Les relations n'ont plus rien de cordiales entre Apple et Qualcomm. Le premier réclame au second près d'1 Md$ au titre d'une remise qui n'aurait jamais été appliquée. Apple avait en effet signé avec le fournisseur un accord pour la fabrication exclusive des puces modem de ses produits entre 2011 et 2016, moyennant une ristourne. Apple n'en a jamais vu la couleur et réclame maintenant son dû auprès de la cour de justice de Californie.La bataille s'annonce âpre, tant Qualcomm ne semble pas vouloir coopérer. Il reproche à Apple d'avoir collaboré avec la justice sud-coréenne dans le cadre d'une enquête portant sur de possibles abus de position dominante et des pratiques anticoncurrentielles de sa part. La procédure avait débouchée, fin décembre 2016, sur une amende de 850 M$ à la charge de Qualcomm qui a fait appel.Ce n'est pas la première fois que le géant des semi-conducteurs est condamné pour pratiques anticoncurrentielles. Début 2015, ce sont les instances chinoises qui l'avaient enjoint de verser 950 M$ d'amende. Récemment, c'est la commission fédérale du commerce américaine (FTC) qui a lancé une procédure similaire. Il faut dire que le portefeuille de brevets de Qualcomm lui apporte une puissance indéniable. Les différentes enquêtes ont conclu que le fabricant en aurait abusé pour imposer des contrats de licence défavorables aux différents fabricants de téléphones et réduire la concurrence (Texas Instrument, STMicoelectronics, Freescale, NXP...) à un rôle de second rang. Ce dont la firme s'est, bien évidemment, toujours défendue.
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