Batterie Asus a2000k
- fasophiafrance
- 2017年3月20日
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Le système détaillé la semaine dernière à Hong Kong par des ingénieurs de l'Université de Washington pourrait servir de base pour faire communiquer entre eux des terminaux électroniques portables. Des ingénieurs de l'Université de Washington ont réussi à faire communiquer entre eux, sur de courtes distances, et sans transmission de signaux, des appareils fonctionnant sans piles. Les terminaux mis au point par les chercheurs sont capables d'échanger des données à des vitesses allant jusqu'à 10kbits/s à une distance de 1 mètre. Cette technologie pourrait avoir des applications variées, avec des appareils portables ou des réseaux de capteurs.Le principe de ce mode de communication pour le moins inhabituel repose sur les signaux de télédiffusion qui couvrent d'ondes les villes et les villages à peu près partout dans le monde. Ces signaux sont parmi les plus puissants présents dans l'air, mais leur réception peut être dégradée par les réflexions des ondes sur les bâtiments, les arbres et même les avions, qui peuvent affecter le niveau du signal reçu par une antenne. C'est sur le différentiel de réflexion qu'ont travaillé les chercheurs pour mettre au point leur système. Ils ont développé plusieurs petits appareils capables de communiquer en renvoyant ou en absorbant les signaux de télévision. « Les deux appareils sont réglés pour fonctionner sur les canaux 22 à 29 de la bande TV UHF et les signaux de télévision sont utilisés de deux façons », a déclaré Joshua Smith, professeur agrégé à l'Université de Washington et co-auteur d'un article sur le système.
Joshua Smith a expliqué que les signaux transmis par voie hertzienne (« over-the-air ») sont capables d'induire quelques dizaines ou quelques centaines de microwatts, de quoi recharger un petit condensateur qui agit comme une batterie pour alimenter un petit circuit. Ensuite, pour la transmission des données, « un dispositif absorbe ou réfléchit le signal TV reçu, tandis que l'autre regarde comment varie le signal de télévision reçu ». Quand le premier appareil réfléchit le signal, le niveau de l'onde reçue par le second dispositif doit être plus élevé et quand le premier appareil absorbe le signal, le niveau doit baisser. « Si l'on peut détecter la différence entre les deux, on a tous les éléments pour créer un système capable de transmettre des données binaires », a-t-il ajouté.Les données peuvent être envoyées à une vitesse de 10kbits/s maximum quand les deux appareils sont situés à 30 centimètres l'un de l'autre environ. Le débit tombe à environ 100 bits/s si les appareils sont situés à un mètre. Mais les chercheurs pensent qu'il est possible d'augmenter la vitesse et la distance en améliorant la détection d'erreur. Et parce que les appareils cherchent à détecter les variations momentanées et rapides du niveau du signal qui se produisent des centaines de fois par seconde, ils ne réagissent pas aux variations du niveau du signal qui ont lieu à des vitesses plus lentes.
Selon les ingénieurs de l'Université de Washington, leur système pourrait servir dans les communications à courte distance entre appareils électroniques portables ou pour les réseaux de capteurs dans les domaines de la construction ou de l'agriculture. Cette technologie pourrait aussi trouver des applications dans les communications sans contact (NFC). Les détails de leur recherche ont été rendus publics lors de la conférence ACM SIGCOMM 2013 (Association for Computing Machinery's Special Interest Group on Data Communication) qui s'est tenue à Hong Kong du 12 au 16 août, où leurs travaux ont remporté le prix du meilleur article. Comme tous les ans, Intel a sorti de ses labs un prototype de PC compact. Cette année, c'est le Compute Card, un ordinateur de la taille d'une carte de crédit qui a bénéficié des feux du CES de Las Vegas Après le Curie, un PC de la taille d’un bouton, Intel vient de présenter au dernier CES de Las Vegas un ordinateur de la taille d’une carte de crédit. Baptisé Compute Card, ce dernier est avant tout une vitrine technologique avec un design qui pourrait inspirer certains constructeurs asiatiques. Dans une épaisseur de 5 mn (95 x 55 x 5 mm pour être complet), ce petit étui réussit à concentrer les composants habituels d’un PC, à avoir une processeur (7e génération) avec un circuit graphique intégré, la RAM, un peu de flash, une interface sans fil et enfin un connecteur USB- C Extension. Un dérivé de l’USB-Type C qui prend en charge l’USB, le PCIe, le HDMI et le DP.
Avec ce référence design qui vient en fait concurrencer un Raspberry Pi ou un Arduino, Intel compte équiper des frigos connectés, des smart TV, des distributeurs de boissons ou de friandises connectés. La Compute Card sera disponible au second trimestre 2017, selon un communiqué de presse de la firme de Santa Clara. Reste à connaitre le prix de ce boitier qui ne devrait pas approcher celui d'un Raspberry.Lors du CES de Las Vegas (5 au 8 janvier), Panasonic a présenté un prototype de batterie flexible pour les objets portables. Les batteries sont suffisamment petites et rigides pour être intégrées dans une carte de crédit. La batterie flexible au lithium ion, dont les propriétés électriques sont préservées même après des pliages répétés, offre plus de marge de manœuvre aux concepteurs de dispositifs portables, actuellement obligés de prévoir des espaces inflexibles pour accueillir la batterie et certains composants électroniques. La semaine dernière, lors du CES, Panasonic a présenté trois prototypes de batterie, un grand mesurant 40 par 65 mm, un moyen de 35 par 55 mm, et un plus petit de 28.5 par 39 mm. Les trois font à peine 0,45 mm d'épaisseur, soit beaucoup moins que les 0,76 mm d’une carte de crédit. Les plaques supportent un pliage de 25 mm de rayon et une torsion de 25 degrés. Les batteries qui ne pèsent qu'un gramme ou deux délivrent 3.8 volts en sortie.
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Les batteries sont donc suffisamment petites pour être intégrées dans des cartes de crédit ou d’autres cartes électroniques de taille similaire. Actuellement, les batteries de ces cartes se dégradent plus vite que la normale parce qu’elles supportent mal la flexion et la torsion. Les nouvelles batteries, encore en développement, n’auront pas les mêmes problèmes. Un pliage de 25 mm de rayon, le maximum supporté, entraînera une perte de capacité de 1 % seulement.Panasonic est l'un des plus grands fabricants mondiaux de batteries au lithium-ion. Ses cellules sont utilisées dans de nombreux domaines, depuis les batteries AA courantes jusqu’aux batteries des voitures électriques. Le groupe japonais est engagé dans un important partenariat avec Tesla pour fournir des batteries à ses véhicules. Les batteries seront développées et fabriquées sur mesure dans la Gigafactory installée dans le Nevada.La ville de Paris a dévoilé mi-décembre les lauréats de ses Grands prix de l'innovation 2016. Parmi les lauréats, la start-up LightOn développe un co-processeur optique destiné à accélérer l'exécution des algorithmes d'intelligence artificielle et Uavia a mis au point des solutions de surveillance par drône pilotés à travers des liaisons IP.
Les Grands prix de l’Innovation de la ville de Paris qui ont été remis le 14 décembre dernier, à la Cité de la Mode, ont mis à l’honneur plusieurs projets technologiques singuliers parmi les lauréats distingués. Ainsi, la start-up gagnante de la catégorie Technologies numériques, LightOn, travaille sur le développement de co-processeurs optiques destinés à accélérer l’exécution des algorithmes d’apprentissage machine sur de très importants volumes de données, tout en limitant la consommation énergétique. Issue des laboratoires de l’ESPCI ParisTech, l'Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris, Lighton est dirigée par Igor Carron, docteur en ingénierie nucléaire de l’Université A&M du Texas, et Laurent Daudet, docteur en mathématique appliquée de l’Université de Marseille et professeur de physique à l’Université de Paris Diderot. A leurs côtés, ils ont réuni une équipe de chercheurs pluridisciplinaires.
Le co-processeur que la société met au point se connectera au processeur principal d’un ordinateur à travers des connexions haut débit standard. Il ne nécessite donc pas de technologie particulière pour être adopté par les fabricants, indique Lighton sur son site. La start-up publie régulièrement l’avancée de ses travaux. La preuve de concept de sa première génération de prototype est ainsi décrite dans un article accessible sur le site arxiv.org. LightOn est hébergé au sein de l’incubateur public Agoranov.Les grands prix de l’Innovation de la ville de Paris comportent sept autres catégories : Usine du futur, Industries numériques culturelles et créatives, Eco innovations, Santé, Services aux entreprises, Innovations sociales et Services aux particuliers. Parmi les lauréats dont les solutions exploitent les technologies numériques figurent notamment la société Uavia, basée à Evry (Essonnes), qui a remporté le prix Usine du futur avec ses drones d’inspection.Conçue pour des missions de surveillance sur des sites sensibles, la technologie d’Uavia est destinée à recueillir des données en temps réel depuis son bureau, avec des drones évoluant en autonomie sur le terrain, explique la société.
La solution matérielle et logicielle d'Uavia permet d’effectuer une surveillance aérienne sans intervention humaine sur le terrain en recourant à des liaisons IP à travers des réseaux mobiles 3G/4G qui sont répartis dans des stations de recharge. Pour démontrer sa capacité à contrôler ses équipements sur de très longues distances, Uavia a notamment testé le pilotage d’un drone situé en région parisienne par un opérateur se trouvant à San Francisco (9000 km de distance), par l’intermédiaire d’un ordinateur connecté à Internet. L’équipe d’Uavia est composée de Clément Christomanos, CEO, Luc Clément et Pierre Pelé, respectivement directeurs techniques pour le logiciel et le matériel, et Yann Dobignard, directeur de production. A eux quatre, ils réunissent une expérience sur les systèmes embarqués et le pilotage aérien.
Dans la catégorie Services aux entreprises, le lauréat Yogosha (défense en japonais) propose de débusquer les failles de sécurité qui se trouvent dans les systèmes d’information, selon une fourchette de prix déterminée par ses clients. La start-up installée à Boulogne-Billancourt a été co-fondée par Yassir Kazar, CEO, et Fabrice Epelboin, CMO. Elle réunit une communauté d’experts en informatiques décrits comme des hackers éthiques (whitehat). Parmi les autres finalistes de cette catégorie figurent Destygo qui a développé un robot conversationnel pour faciliter l’organisation de voyages professionnels, ou encore Goshaba, qui édite une solution de recrutement identifiant les profils en associant traitement des big data, sciences cognitives et gamification. Les deux autres finalistes sont Julie Desk, qui recourt à l’apprentissage machine pour son assistant virtuel à la prise de rendez-vous et Skello, logiciel SaaS de gestion des planning et des équipes pour les chaînes de magasins.La cellule à supercondensateurs mise au point par les chercheurs de l'université de Floride n'est encore qu'une « preuve de concept », mais leur travail semble très prometteur.
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Des chercheurs de l'Université de Floride Centrale (UCF) ont créé un prototype de batterie à supercondensateurs capable de conserver intactes ses propriétés de charge même après 30 000 rechargements. Ce travail de recherche pourrait déboucher sur la production de batteries à charge ultrarapide, de grande capacité, dont la durée de vie pourrait dépasser de 20 fois celle d’une batterie à lithium-ion conventionnelle. « Cette cellule permettra de recharger son téléphone mobile en quelques secondes et la charge pourra tenir pendant plus d'une semaine », a expliqué Nitin Choudhary, post-doctorant associé de l'UCF.Parce qu’ils stockent l'électricité statiquement sur la surface du matériau, au lieu d'utiliser, comme les batteries, des réactions chimiques, les supercondensateurs peuvent être chargés rapidement. Pour disposer d’une surface importante permettant de contenir un grand nombre d'électrons, les chercheurs ont conçu des couches de matériau « bidimensionnelles ». Or aujourd’hui, la plupart des recherches comme celles menées par le constructeur de véhicules électriques Henrik Fisker ou par les chercheurs de l’université UCLA utilisent le graphène comme matériau bidimensionnel. Or, selon Yeonwoong « Éric » Jung de l'UCF, il est difficile d'intégrer le graphène avec les autres matériaux utilisés pour les supercondensateurs. Pour contourner ce problème, son équipe a développé des matériaux métalliques en deux dimensions (TMD), épais de quelques atomes, qui enveloppent des nanofils 1D très hautement conducteurs. Ce système permet aux électrons de passer rapidement du noyau à l’enveloppe. Au final, l’équipe a obtenu un matériau à charge rapide offrant une densité élevée en termes de puissance et d'énergie, et relativement simple à produire. « Notre approche qui repose sur une synthèse chimique simple nous a permis de bien intégrer les matériaux existants avec les matériaux bidimensionnels », a encore expliqué Yeonwoong Jung.
Cette recherche n’en est qu’à ses prémices et la commercialisation de ces batteries n’est pas pour demain, mais ses résultats sont prometteurs. « En termes de densité énergétique, de densité de puissance et de stabilité cyclique, nos matériaux dépassent de loin tous les matériaux classiques existants aujourd’hui, notamment ceux que l’on trouve dans les petits appareils électroniques », a déclaré Nitin Choudhary. Pour Yeonwoong « Éric » Jung, cette recherche est encore à l’état de « preuve de concept », et l'équipe va maintenant breveter son processus. Et même si, au final, ce travail n’aboutit pas, comme c’est le cas de beaucoup de travaux menés autour des batteries, il est intéressant de suivre de près cette nouvelle recherche sur les supercondensateurs.
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