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Batterie Asus k73tk

  • fasophiafrance
  • 2017年3月18日
  • 讀畢需時 9 分鐘

Il n'est pas sûr qu’Apple ait su que son service iCloud stockait des enregistrements supprimés. Hier, l’entreprise californienne n'a pas répondu à une demande de commentaire. Mais depuis que l’information a été publiée sur le blog d’Elcomsoft, « Apple a semble-t-il « purgé » les anciens enregistrements d'historiques de navigateur de iCloud », a déclaré l’entreprise moscovite. « Pour ce que nous savons, Apple les a peut-être simplement déplacés vers d'autres serveurs, de sorte que les enregistrements supprimés sont inaccessibles depuis l'extérieur », peut-on encore lire sur le blog. « Désormais, seuls les enregistrements supprimés au cours des deux dernières semaines peuvent être extraits », a précisé Elcomsoft.Elcomsoft avait déjà constaté qu'Apple enregistrait l'historique des appels des utilisateurs dans iCloud et ne proposait aucun moyen explicite d'activer ou de désactiver la synchronisation. À l'époque, Apple avait répondu que sa fonction de synchronisation d'appel était une commodité qui permettait aux clients de passer des appels téléphoniques depuis n'importe quel appareil. Pour les utilisateurs soucieux de la protection de leur vie privée, Elcomsoft a rappelé qu'ils pouvaient désactiver la synchronisation de l’historique de navigation de Safari avec iCloud.

Avec l'augmentation sensible du nombre d'applications gérées dans le cloud, Microsoft veut garantir ses clients Azure contre les risques de procès en violation de brevets. Il met en place un programme en 3 volets, Azure IP Advantage, pour les aider à y faire face. Celui-ci comporte l'accès à 10 000 brevets Microsoft. Microsoft anticipe les risques que l’utilisation de services cloud pourrait faire peser sur les développements logiciels de ses clients, en cas de procès en violation de brevets. L’éditeur de Redmond cherche à y répondre avec un programme baptisé Azure IP Advantage visant à protéger les investissements cloud et la propriété intellectuelle de ses clients Azure. Il le propose gratuitement à tout client dépensant au moins 1 000 dollars par mois sur ses services cloud, soit la majorité d'entre eux. Ce programme a été présenté hier par Brad Smith, président et directeur juridique de Microsoft.

« Selon le Boston Consulting Group, il y a eu une augmentation de 22% des procès en propriété intellectuelle liés au cloud sur les 5 dernières années aux Etats-Unis », expose le directeur juridique dans un billet. De surcroît, les « patent trolls » - ces sociétés qui détiennent des brevets sans les utiliser (non-practising entities, NPE) afin de les faire valoir dans le cadre de procès - ont augmenté de 35% leurs achats de brevets dans le cloud sur la même période. Peut-être un signe qu’une partie d’entre eux fourbissent leurs armes en attendant leur heure. Avec l’augmentation des volumes d’applications gérées dans le cloud, les entreprises pourraient un jour devoir affronter des accusations en violation de brevets. « Nous voulons que les développeurs puissent se concentrer sur le code et que les entreprises puissent répondre aux besoins évolutifs de leurs clients avec agilité sans se soucier des procès », pointe Brad Smith.

Si les fournisseurs de technologie connaissent bien le problème et savent se défendre lorsqu’ils sont attaqués, cela peut s’avérer plus compliqué à gérer pour une entreprise peu rompue à cet exercice. Avec Azure IP Advantage, la protection en propriété intellectuelle de Microsoft (qui inclut une couverture d’indemnisation non plafonnée) va également couvrir les technologies open source sur lesquelles s’appuient les services cloud. Brad Smith cite en exemple le framework Hadoop utilisé pour Azure HD Insight, l’offre de clusters accessible pour l’analyse des big data (clusters optimisés pour Spark, Hive, Map Reduce, HBase, Storm, Kafka et R-Server).Contactée par la rédaction pour savoir si le programme Azure IP Advantage s’appliquait aussi en Europe, et en particulier dans l'Hexagone, la filiale française de Microsoft n’avait pas encore communiqué sa réponse au moment de la publication. On peut toutefois constater que l’annonce (en anglais) du programme s’affiche également sur le site français d'Azure.

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C’est le premier volet du programme Azure IP Advantage. Celui-ci en comprend deux autres. « Nous allons rendre disponibles à nos clients les 10 000 brevets Microsoft qu’utilisent les services Azure », poursuit le directeur juridique. L’objectif est ici de les aider à se défendre contre les procès en violation de brevets qui viseraient leurs propres services fonctionnant sur Azure. En effet, une défense courante pour les entreprises accusées d’infraction sur les brevets est d’arguer que leurs accusateurs enfreignent eux-mêmes l’un de leurs brevets afin de proposer des accords de licences croisés qui permettent aux deux parties d’éviter un procès. Les 10 000 brevets avancés par Microsoft sont largement représentatifs du portefeuille complet de brevets de l’éditeur de Redmond, selon Brad Smith.Enfin, troisième volet, Microsoft s’engage auprès de ses clients Azure, dans l’éventualité où il transférerait certains brevets à des « non-practising entities » (ces patent trolls de triste réputation), que ceux-ci ne pourront jamais être utilisés contre eux. « Nous ne pratiquons pas de tels transferts, mais nous avons appris que c’est une protection supplémentaire que beaucoup de clients apprécient », conclut Brad Smith.

Après Microsoft, c'est à Google qu'un tribunal américain demande de remettre des emails se trouvant sur des serveurs situés à l'étranger sur requête du FBI. Microsoft avait refusé et la justice lui avait donné gain de cause. Google indique de son côté qu'il va faire appel de la décision. En avril 2016, Microsoft avait remporté un bras de fer face au ministére américain de la Justice qui lui demandait de produire les e-mails d’utilisateurs stockés sur des serveurs situés en Irlande, dans le cadre d’une enquête liée à un trafic de drogue. A l’époque, l’éditeur de Redmond avait avancé qu’il s’agissait d’une saisie à l’étranger et obtenu gain de cause en faisant valoir les lois européennes sur la protection des données. L’histoire se renouvelle avec Google. Un juge américain vient de demander à la firme de Mountain View de lui remettre des emails stockés sur des serveurs à l’étranger, à la suite d’un mandat de perquisition du FBI, dans le cadre de deux enquêtes criminelles.

Le juge Thomas J. Rueter, du tribunal du District est de l'Etat de Pennsylvanie, avance d'autres arguments, ainsi que le rapporte l'agence de presse Reuters. Selon lui, transférer les données électroniquement d’un serveur situé dans un autre pays vers le datacenter californien de Google ne s’apparente pas à une saisie à l’étranger, l’atteinte à la vie privée intervenant au moment de la divulgation des données aux Etats-Unis et pas lorsque celles-ci sont transférées. Il ajoute que Google transfère régulièrement des données d’un datacenter à l’autre sans que ses clients le sachent. Dans un communiqué, la firme californienne a indiqué qu’elle compte faire appel de la décision.Toutes les entreprises vont devoir se mettre en conformité avec GDPR, le règlement européen sur la protection des données. Ce sujet sera étudié lors de la Matinée Stratégique de notre confrère CIO consacrée à la Cybersécurité le 28 février 2017. L'acronyme GDPR, General data protection regulation ou Règlement général pour la protection des données, commence à être largement connu. La date butoir également, les entreprises ont jusqu'au 25 mai 2018 au plus tard pour s'y conformer. Les modalités de mise en conformité restent en revanche dans le flou. Le cabinet Deloitte vient de publier un Livre Blanc sur le sujet : « GDPR, par où commencer ? » L'occasion de rappeler le cadre juridique et les obligations qui vont incomber aux entreprises.

Mais, dès l'introduction, Michael Bittan, associé leader des activités Cyber Risk Services chez Deloitte insiste sur les difficultés d'adaptation du règlement européen. Au premier rang desquelles, il place l'évaluation des volumes de données personnelles à « trier ». La moindre incertitude sur ce point fait réfléchir. Si l'entreprise s'avère incapable de fournir les données personnelles d'un client, elle est prise en défaut. Le GDPR est justement basé sur sa responsabilité dans la protection des données. L'entreprise doit pouvoir les fournir et savoir les traiter comme les protéger.Une amende est prévue en cas de défaillance de l'entreprise dans la protection de ses données clients. Amende dissuasive. Destinée avant tout à les pousser à se mettre en conformité avec le règlement européen. Il ne reste que 500 jours, résume Michael Bittan. Dans un autre rapport, celui de Symantec, 96% des entreprises françaises, allemandes et britanniques concédaient n'avoir qu'une compréhension partielle du GDPR.Ce règlement oblige à revoir son organisation, note Deloitte. Toute entreprise de plus de 250 salariés doit se doter d'un délégué à la protection des données ou d'un directeur de la protection des données. Nombre de RSSI étendent leurs fonctions à celle de responsable de la compliance [conformité réglementaire]. L'entreprise toute entière se met ainsi à la data gouvernance.

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Dans cette démarche, le cabinet cite plusieurs étapes. D'abord, réaliser un état des lieux des traitements et des données manipulées, des moyens en place et des zones à risque. Il faut une méthodologie de type industriel. Ensuite, chaque responsable se voit attribuer un positionnement de même que les sous-traitants ou les hébergeurs. Débute alors l'identification proprement dite des données personnelles, nature, volume, localisation, niveau de criticité, cycle de vie. Ensuite, préconise le cabinet, une étude d'évaluation des impacts et des risques sur la vie privée s'avère nécessaire.Dans la perspective de la fin des frais de roaming dans l'Union européenne, les négociateurs européens ont décidé de plafonner les prix de gros que se facturent les uns aux autres les opérateurs de télécommunications mobiles lorsque leurs clients utilisent d'autres réseaux lors de leurs déplacements en Europe. Après l’annonce en septembre dernier de la fin des frais d’itinérance dans l'Union européenne, arrêtée au 15 juin 2017, les opérateurs de réseaux mobiles avaient maugréé que sa mise en place serait infaisable parce que les prix de gros des minutes et des mégaoctets qu’ils se facturent entre eux diffèrent d’un pays à l’autre. Pour tenter de régler cette question, un accord a été trouvé hier soir par les négociateurs, ces derniers rassemblant des membres de la Commission européenne, du Parlement et du Conseil européens. Dans un communiqué, ils expliquent qu’ils ont convenu de réguler les marchés de gros du roaming de la façon suivante.

A partir du 15 juin prochain, des plafonds vont être fixés, à raison de 3,2 centimes d'euros par minute sur les appels vocaux et de 1 centime d'euros par SMS. Une réduction par étape sera appliquée sur 5 ans à la baisse du plafond sur les données. Elle débutera le 15 juin à 7,7 € par Go pour descendre à 6 €/Go le 1er janvier 2018, à 4,5 €/Go le 1er janvier 2019, à 3,5 €/Go le 1er janvier 2020 et à 3 €/Go le 1er janvier 2021 pour arriver enfin à 2,5 €/Go le 1er janvier 2022. Il est précisé que la Commission procédera à un examen de ce marché d'ici la fin de l'année 2019 et qu'elle fournira aux co-législateurs une évaluation intermédiaire au plus tard le 15 décembre 2018.« C’était la dernière pièce du puzzle », a indiqué l'Estonien Andrus Ansip, vice-président de la Commission européenne, responsable du marché unique numérique. « A partir du 15 juin, les Européens pourront voyager dans l’Union européennes sans frais d’itinérance. Nous nous sommes aussi assuré que les opérateurs pourront continuer à se concurrencer pour fournir les offres les plus attractives sur leurs marchés nationaux respectifs ». Il reste néanmoins une étape. Il faut en effet que le Parlement européen et le Conseil approuve formellement l'accord trouvé.La Commission Européenne avait laissé 4 mois à Apple afin de permettre au gouvernement irlandais de récupérer auprès de lui 13 milliards d'euros de recettes fiscales jamais versées. Le délai est arrivé à expiration mais la tâche pour récupérer les fonds pourrait s'avérer plus ardue que prévu.

Apple ne semble pas vraiment pressé de reverser à l'Irlande les 13 milliards d'euros de taxes qu'il avait « oublié » de payer entre 2003 et 2014. La Commission Européenne l'est un peu plus en revanche. En août dernier, l'institution avait ainsi bouclé une enquête fiscale de trois ans à l'encontre de la firme à la pomme, débouchant sur l'obligation pour la société américaine de reverser au gouvernement irlandais 13 milliards d'euros. Le délai de 4 mois désormais expiré, la commissaire européenne à la concurrence Margrethe Vestager est montée au créneau afin que la sanction soit bel et bien exécutée. « Le recouvrement n'est pas encore fait, mais nous avons travaillé avec les autorités irlandaises et nous voyons qu'ils avancent pour récupérer les taxes non payées », a indiqué la commissaire dans une conférence de presse donnée mardi à Dublin. « C'est une chose difficile à faire parce que cela concerne une grosse somme et nous devons rester vigilants sur la manière de la récupérer. Il n'est pas question ici de bloquer un compte et de récupérer 20 ou 30 millions d'euros. Je comprends que c'est une question compliquée qui peut prendre un peu plus de temps que le délai imparti. »


 
 
 

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