Batterie ASUS U46E

Bonne nouvelle aussi, les machines testées ci-dessous tout comme votre PC sous Windows 7 et 8 bénéficieront d'une mise à jour gratuite. mais c'est à l'utilisateur de lancer sa demande à partir de la machine et d'attendre la disponibilité en téléchargement. Autre chose : en principe en novembre prochain, la console de salon Xbox passera aussi sous Windows 10. Outre une interaction plus grande avec le PC et le smartphone, la console servira aussi d'enregistreur de programmes TV.

A part Windows, et son challenger Mac OS des machines d'Apple, il y a le système d'exploitation plus récent Chrome OS de Google, qui mise sur ses services en ligne. Et pour les utilisateurs les plus curieux, il existe les systèmes libres (développés par une communauté ouverte de collaborateurs) : Ubuntu en est un bon exemple.

Même si votre ordinateur intègre d'un disque dur de grande capacité (par exemple 1 ou 2 To), vous avez intérêt à disposer au moins d'un disque dur externe. Pas seulement pour dupliquer les photos et les vidéos de la famille et les fichiers importants, mais aussi pour disposer d’une sauvegarde de la machine elle-même. Un conseil : profitez du prix bas des disques dur (on en trouve à moins de 100 € pour 2 To) et investissez dans deux disques durs : l’un pour stocker les contenus multimédia et les documents ; l’autre pour la sauvegarde du système.

Si votre ordinateur dispose d'une prise USB 3, vérifiez alors qu'il en est de même pour le disque dur, autrement les échanges seront beaucoup plus lents. Autre type qui se répand dans le marché grand public : le disque SSD. Tel une carte mémoire SD ou micro-SD, il est dépourvu de pièce mécanique : il résiste aux chocs et assure des échanges à vitesse très élevée. Son prix baisse mais reste tout de même bien plus cher que le disque dur classique. Existe aussi le disque dur réseau. Il donne accès à son contenu à tout ordinateur mais aussi au smartphone connecté au réseau.

De quelques dizaines à plus de 800 € pour le haut de gamme, la diversité des tablettes est très grande, tout comme leur qualité. Outre la fabrication (du tout plastique au tout aluminium), le premier critère est l'écran. La différence ne se fait pas seulement au niveau de la définition (nombre de pixels, HD ou non), mais aussi au niveau du champ de vision : avec certaines tablettes, une visée un peu décalée fait apparaître un écran terne. Ensuite, il y a la fluidité de la navigation et la réactivité des commandes : passe-t-on vite d'une application à l'autre, est-ce que le zoom sur l'image ne saccade pas ?

http://www.batterie-tech.com/asus-n75sl-portable-batterie.html Batterie ASUS N75SL

http://www.batterie-tech.com/asus-n75sv-portable-batterie.html Batterie ASUS N75SV

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1000h-portable-batterie.html Batterie Asus Eee PC 1000H

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1000ha-portable-batterie.html Batterie Asus Eee PC 1000HA

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-901-portable-batterie.html Batterie Asus Eee PC 901

http://www.batterie-tech.com/asus-u50a-portable-batterie.html Batterie ASUS U50A

http://www.batterie-tech.com/asus-u50vg-portable-batterie.html Batterie ASUS U50VG

http://www.batterie-tech.com/asus-u50vg-xx103c-portable-batterie.html Batterie ASUS U50VG-XX103C

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1201ha-portable-batterie.html Batterie ASUS Eee PC 1201HA

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1201n-portable-batterie.html Batterie ASUS Eee PC 1201N

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1201pn-portable-batterie.html Batterie ASUS Eee PC 1201PN

http://www.batterie-tech.com/asus-eee-pc-1201t-portable-batterie.html Batterie ASUS Eee PC 1201T

http://www.batterie-tech.com/asus-u46e-portable-batterie.html Batterie ASUS U46E

http://www.batterie-tech.com/asus-u46sv-portable-batterie.html Batterie ASUS U46SV

http://www.batterie-tech.com/asus-u56e-portable-batterie.html Batterie ASUS U56E

http://www.batterie-tech.com/asus-f50g-portable-batterie.html Batterie Asus F50G

http://www.batterie-tech.com/asus-f50sv-portable-batterie.html Batterie Asus F50SV

Faites attention au stockage, si vous avez beaucoup de contenu multimédia ou utilisez beaucoup d'applications. La tablette possède-elle un lecteur de carte micro SD pour étendre en cas de besoin ce stockage ? L'iPad n'est pas la seule tablette dépourvue de lecteur de carte micro SD. Les Nexus de Google non plus ! Et l'autonomie ? C'est essentiel pour les tablettes qui sortent souvent. Mais le problème est en général moins délicat qu'avec les smartphones. La plupart des tablettes testées, même milieu de gamme, s'en sortent bien.

En ce qui concerne la puissance, même remarque, la plupart des tablettes, dotées de plus en plus de processeurs à multiples cœurs, feront fonctionner correctement l'ensemble des applis, à l'exception des jeux vidéos les plus exigeants (affichage et calculs). Reste évidemment le choix du système d'exploitation. Windows, encore un retard en termes de nombre d'applications par rapport à Android et iOS, bénéficiera peut-être de l'élan de sa toute nouvelle version. Android est premier (avec 1,6 million environ cet été) devant iOS (1,5 environ). Cependant, ce dernier bénéficie encore de la priorité de certains développeurs !

N'hésitez pas : au lieu d'un modèle 3G, prenez un smartphone 4G si vous le pouvez. Et demandez même plus ! Ces dernières années, de nouvelles marques, souvent originaires de Chine sont arrivées sur un marché occidental saturé avec des smartphones moyenne gamme bien équipés à prix raisonnables : C'est le cas des smartphones Wikio, Huawei ou Kazam. Avec la percée de ces entreprises, des concurrentes plus connues proposent aussi des smartphones puissants à bons prix.

Certains ont même des caractéristiques techniques dignes de modèles haut de gamme. La différence avec les produits phares des leaders tels Samsung, Apple ou autres LG se trouve souvent dans le design, la qualité du matériau (le tout aluminium de l'iPhone 6 ou le cuir même du LG G4), l'écran (AMOLED et incurvé sur le Samsung S6 Edge) ou le capteur et traitement photo. A savoir aussi, en partie à cause de la quête absolue du design et du choix du système (iOS), plusieurs smartphones stars ne donnent pas accès à leur batterie ou ne peuvent étendre leur stockage. Contrairement à des modèles dits de moyenne gamme.

Imprimantes, scanners, photocopieuses, attentions aux apparences Après l'ordinateur, l'imprimante est bien utile à la maison : éditer les billets de train ou d'avion, les rapports de stage, les dessins à colorier… C'est encore mieux quand elle est multifonctions. Pour copier ou scanner un document : l'administration s'ouvre de plus en plus vers la réception de documents numérisés chez soi. Si cela ne coûte rien, il en est malheureusement autrement avec l'impression. Car les imprimantes jet d'encre grand public paraissent souvent abordables et même très bon marché (quelques dizaines d'euros).

Mais à l'usage, les cartouches d'encre font gonfler la note. Et contre toute attente, sachez qu'une imprimante jet d'encre utilisée ponctuellement vous coûtera à la page plus cher qu'en usage régulier. Pourquoi ? A cause des opérations automatiques d'entretien des têtes d'impression lancées au bout d'un certain temps. Ce procédé consomme beaucoup d'encre ! Au niveau de l'utilisateur, c'est quasiment imparable. Nous l'avons constaté. Un test de Que-Choisir l'avait aussi mis en avant en 2013.

Autrement, si vous voulez une imprimante jet d'encre, entre deux modèles de prix et de qualité identique, privilégiez en général celle qui a le plus de cartouches séparées : a priori cela reviendra moins cher de changer une couleur que plusieurs. Pour le photographe exigeant, pour l'instant, il n'y a pas mieux que le jet d'encre. Pour les imprimeurs réguliers dont la priorité n'est pas la photo, le plus économique à l'usage reste l'imprimante laser : ses toners, certes plus chers à l'achat, assurent un nombre de pages bien plus élevé.

Un projet de drone lancé sur la plateforme de financement participatif Indiegogo promet un condensé inédit de technologies avec notamment des lunettes pour une vue subjective et un système de remplacement automatique de la batterie. Un drone qui change de batterie tout seul, qui suit son utilisateur à la trace et dont la caméra peut pivoter pour suivre le regard grâce aux lunettes connectées que porte son pilote. Un rêve ? Oui, pour le moment en tout cas. Ce drone nommé FlyBi sortira peut-être l’année prochaine si la campagne de financement lancée sur Indiegogo rencontre le succès escompté.

http://www.batterie-tech.com/asus-n50v-portable-batterie.html Batterie ASUS N50V

http://www.batterie-tech.com/asus-n50vc-portable-batterie.html Batterie ASUS N50VC

http://www.batterie-tech.com/asus-n50vn-portable-batterie.html Batterie ASUS N50VN

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http://www.batterie-tech.com/asus-n51tp-portable-batterie.html Batterie ASUS N51TP

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http://www.batterie-tech.com/asus-n51vf-portable-batterie.html Batterie ASUS N51VF

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Flybi serait le premier engin du genre équipé d’une caméra qui diffuse l’image non pas sur un écran de smartphone ou d’ordinateur mais directement sur des lunettes. Ces dernières seront équipées d’un capteur de mouvements afin que l’utilisateur puisse orienter la caméra du drone simplement en bougeant la tête. Le pilotage se fera via un bracelet muni d’un joystick et d’un écran pour le retour vidéo. Le FlyBi se basera sur sa connexion avec cet accessoire pour suivre l'utilisateur dans ses déplacements et pourra mémoriser les parcours. Dernière promesse aussi étonnante que réjouissante, l’engin serait en mesure de retourner de lui même à sa station d’accueil pour changer automatiquement de batterie lorsqu’il détecte que le niveau d’autonomie est critique.

Si le FlyBi voit le jour, son prix de vente sera de 795 dollars (environ 710 euros), mais les acheteurs prêts à investir via Indiegogo peuvent l’avoir à 545 dollars. La sortie est annoncée pour juin 2016, si le projet voit effectivement le jour...Tout n’est pas aseptisé dans la relation homme-machine d’un rallye WRC. Il ne s’agit pas juste d’une puce que l’on place dans le cockpit et que l’on récupère à la fin de chaque run, de chaque spéciale. Les ingénieurs discutent énormément avec les pilotes pour comprendre, mieux qu’une puce électronique, les réactions de la voiture ou sa tenue de route. « En conception-développement, les ingénieurs doivent être très forts techniquement et scientifiquement, confie Nicolas Roux, ingénieur chez Skoda. En ce sens, oui, ce sont en quelque sorte des cracks en mathématiques. Il y a tellement de calculs. Par contre, en course, on a besoin d’ingénieurs avec de sérieuses qualités humaines.

La relation humaine avec le pilote est ainsi primordiale. Parce que s’il faut une bonne voiture, on a aussi besoin d’un pilote qui va vite. Et d’un pilote qui a confiance. Surtout lorsqu’il y a des problèmes. Quand on est en course, que le pilote a un problème et qu’il l’explique, il est indispensable qu’il ait une totale confiance dans l’ingénieur qui va l’écouter. L’ingénieur doit être capable d’entendre, de trouver une solution, même une solution placebo parfois, parce qu’en course on ne peut pas tout faire, mais il faut qu’il trouve les mots justes. Et puis l’ingénieur rallye a aussi les relations avec l’équipe des mécanos à gérer, c’est lui qui demande les changements sur la voiture... C’est vraiment un milieu sous tension, en essais et en course quand il faut prendre des décisions rapides et les faire exécuter tout aussi rapidement. Il faut donc une grande maîtrise de soi et de la diplomatie, parfois. »

Il faudra de l’EPDM 3 couches kevlar... » « Pardon ? » « De l’EPDM 3 couches kevlar ! » « Ah OK ! » Dans la caravane de l’écurie Citroën, la semaine dernière, en plein centre de la Corse, lors des essais du pilote britannique Kris Meeke, le dialogue semble surréaliste. Pour le moins imperméable aux profanes.C’est que, depuis le temps des clés de 8 et autres pieds à coulisses, le vocabulaire du rallye a clairement vécu sa révolution 2.0. En 2015, l’automobile, grand public et professionnelle, a avalé et digéré le virage informatique.Sur ce Tour de Corse WRC, les ordinateurs joueront, encore une fois, un rôle capital : à la fois banque de données, correcteurs de tests, informations en temps réel, alertes...

A quelques pas du célèbre pont d’Altiani, qui remonte au XVIIe siècle, Kevin Struyf, «ingénieur châssis et responsable des essais», grignote un sandwich devant son écran d’ordinateur portable.Depuis le matin, il consulte, compare, intègre des schémas, des courbes mais aussi une flopée de chiffres répartis en tableaux.De sa main gauche, il triture sa souris sans fil. De la droite, il note sur un carnet. Tiens, le crayon a encore son utilité... Le talkiewalkie rugit : « Deux runs à venir ! » Kevin se lève, parle dans une radio fixée au mur : « Kris ! The road will be open in twenty or thirty seconds ».Le moteur de la DS3 de Kris Meeke rugit un peu plus loin. La voiture est prête à bondir.

« On récupère toutes les données dans une mémoire flash après chaque run, souligne, câble USB en main, Cédric Tremouss, deuxième ingénieur Citroën présent, spécialisé dans les systèmes. C’est une petite pièce électronique placée à côté du calculateur de la voiture. On sait comme ça tout ce qui s’est passé pendant le run : les différentes températures mais aussi la consommation d’essence et d’électricité, les suspensions, le moteur. Par contre, on n’a pas de capteurs sur les pneumatiques... ce sera autorisé seulement en 2017 ! »

Dans une voiture entièrement sous dépendance électronique, la mémoire flash livre quelque chose comme quatre cents paramètres ultra-précis, injectés dans un logiciel spécialisé mais assez commun à toutes les écuries - et oeuvre des Italiens de Magneti-Marelli.Retraduites, ces données donnent ensuite entre trois et quatre cents nouvelles informations... Les yeux vissés sur leur écran, le sourcil froncé, Cédric Tremouss et Kevin Struyf ne profitent pas vraiment du soleil d’automne, occupés à noter des graphiques improbables, ouverts dans trois, quatre ou cinq fenêtres de leurs ordinateurs.